Les succès et les échecs font partie intégrante de toute évaluation : les évaluateurs y sont confrontés du début à la fin du processus. Mais les
évaluateurs en tirent-ils les enseignements qui s’imposent ? Le cas échéant, comment qualifier ce type d’apprentissage ? Les évaluateurs
eux-mêmes et leurs clients en bénéficient-ils ?
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